C’est un vent de fraîcheur qui souffle sur la communication du GMI en ce début d’année 2018, une nouvelle étape dans l’histoire du syndicat qui fêtera ses 95 ans l’an prochain.
Le GMI change son identité visuelle avec un nouveau logo, le quatrième depuis sa création en 1924 et devient :
Dévoilée à l’occasion de sa soirée événement organisée jeudi dernier aux salons Hoche à Paris, cette nouvelle identité visuelle incarne un GMI chevronné et innovant, proche de ses adhérents, ouvert sur ses partenaires et le monde de la communication.
Christophe LARTIGUE, Président du groupement a dévoilé les objectifs de cette mutation :
« Sans perdre de vue les fondamentaux à l’existence de notre groupement, l’objectif est de favoriser et développer les échanges inter-adhérents, nous rapprocher de la demande des dirigeants en apportant des solutions adaptées, tout cela grâce à la mise à disposition d’outils pour faciliter les flux d’informations ».
Stéphanie BRUSA, Directrice générale du groupement a mis l’accent sur le rôle du GMI dans un paysage syndical profondément réformé ces dernières années. Elle a rappelé que lorsqu’il s’agissait de faire vivre une branche professionnelle, d’offrir des services spécialisés de qualité et de proposer un réseau de confiance, le GMI demeure un interlocuteur incontournable.
Fabrice PENNEC, Secrétaire national a notamment évoqué les partenariats noués avec les autres branches professionnelles : le SIN (syndicat des imprimeurs numériques), le SIPG (Syndicat des fournisseurs pour les industries graphiques) et le SYNAFEL (Syndicat national de l’enseigne et de la signalétique) devenu e-vision. Il a également invité les sérigraphes et les cartonniers à collaborer avec le GMI rappelant : « Que ce soit du papier, du carton ou tout autre support et je dirai quel que soit le procédé d’impression, nous avons beaucoup plus de choses qui nous rassemblent que de choses qui nous éloignent ».
Représentant du GMI au sein des instances de la Commission Paritaire, il a insisté sur le fait que le GMI se montrera plus que jamais acteur pour moderniser la convention collective en s’appuyant sur les autres organisations patronales mais également les organisations syndicales.
Gilles MURE-RAVAUD, Administrateur en charge de la formation a rappelé que le GMI dispose à ce jour d’un programme de formation « prêt à l’emploi » dans la région Aquitaine dans le domaine du Massicot/pliage/piqure en partenariat avec Grafipolis représenté lors de la soirée par son Président Norbert PLOT. Grafipolis et le GMI étudient le déploiement de cette formation dans d’autres régions. Il a également précisé que courant 2018, d’autres formations doivent voir le jour notamment dans le domaine numérique (organisation liée au flux numérique, parc machine numérique et ennoblissement…).
Sylvain PINAUD, Trésorier du groupement a présenté le nouvel outil d’échanges inter-adhérents dénommé « Annuaire des professionnels ». Accessible à partir de la nouvelle plateforme web du GMI, il permet de faciliter les échanges entre les membres adhérents du GMI, de trouver un partenaire pour sous-traiter en toute confiance mais aussi de se différencier en profitant d’une visibilité au plan national.
Gilbert CARON, Président de l’association en charge de la marque Print Environnement® a valorisé cette formule novatrice de management environnemental très appréciée des imprimeurs. A ce jour, seuls 120 d’entre eux ont reçu cette distinction. Sa démarche est de faire comprendre aux donneurs d’ordres que choisir un imprimeur Print Environnement® est une marque de crédibilité, de garanti pour eux, c’est un engagement de résultat et un gage de qualité.
Nassib KAZMA, Administrateur en charge du Club Partenaires a quant à lui remercié les nombreux partenaires présents à la soirée. A l’occasion de l’inauguration du Club, il en a précisé le principe qui est de permettre à chacun des membres du GMI d’échanger dans un cadre amical et convivial, de collaborer, de partager ses connaissances à l’occasion de Journées Portes ouvertes, salons…
Une évolution de l’image du GMI qui s’inscrit dans la modernité et pose la nouvelle dynamique fédératrice insufflée par le syndicat et ses représentants.